• L'action d'intimidation contre un camarade hier midi, menacé par deux "gros bras" en bas de chez lui, n'empêchera pas #LaVéritéSurFuturRouge d'éclater et de se diffuser.

    Ne serait-ce que, tout simplement, parce que ces personnes se foutent profondément le doigt dans l’œil si elles s'imaginent qu'intimider UNE OU DEUX personnes fera taire des informations dont des dizaines sont déjà au courant.

    Il va sans dire que le recours à de telles méthodes fascistes vaut AVEU de tout ce qui a pu être écrit ici et que vous avez peut-être eu l'occasion de lire. Ce sont les méthodes de coupables, de décomposé.e.s "fascistes dans leur manière d'être communistes" (comme disait plus ou moins Bourdieu de certains dirigeants gauchistes des années 70, devenus PS ou néocons depuis) sur lesquel.le.s la vérité sur ce qu'illes sont, gênante et même mortelle politiquement, a été dévoilée et qui emploient des méthodes conformes à ce qu'illes sont pour nous faire "fermer nos gueules". Pas de personnes injustement calomniées sur qui personne de sérieux ne pourrait croire les calomnies balancées, et qui regarderaient sereinement leurs calomniateurs s'auto-disqualifier et s'auto-détruire (comme nous allons maintenant le faire à leur égard).

    De nombreuses personnes nous ayant déjà témoigné leur solidarité et proposé leur aide, il importe aussi de dire ce qui suit : commettre de telles provocations et intimidations... afin de récolter une riposte équivalente ou plus violente encore (même verbalement) est une STRATÉGIE de ces personnes pour se poser ensuite en victimes. Agresser physiquement un septuagénaire dans une manif parisienne, puis se présenter (nouvelle provocation) à un meeting anti-répression organisé entre autres par l'orga de celui-ci, s'en faire dégager sans ménagement et publier ensuite sur leur site un long texte victimaire... Idem à une manif pour un prisonnier politique connu en Occitanie : provoquer, agresser jusqu'à ce que les gens se défendent, puis pleurer d'avoir été "réprimé.e.s" et "silencié.e.s". Idem à Montpellier avec ce qui est de fait leur "antenne" locale : calomnier et harceler un collectif qui se casse le cul tous les jours à faire fonctionner un local associatif, jusqu'à ce qu'un membre de ce collectif, un soir alcoolisé, pète un plomb et agresse... etc. etc. En l'état actuel (faible) de gravité des choses, du moins, il ne faut absolument pas rentrer dans cette stratégie.

    De toute manière, illes ne craignent pas les coups (pour les raisons que nous venons d'expliquer : cela sert leur auto-promotion...), ce qu'illes craignent c'est la PAROLE : que la PAROLE se libère, que les gens arrêtent avec les pathétiques et (au fond) lâches "houlà ! évitons ce genre de polémiques stériles" et commencent à leur adresser les CRITIQUES POLITIQUES qu'il se doit, ce qui signifie leur mort politique, et illes ne craignent rien plus que cela - c'est que nous avons fait, c'est la raison de ce qu'il s'est passé... et c'est ce que nous CONTINUERONS À FAIRE.

    Ce qu'il faut, c'est montrer à ces gens que l'on n'a PAS PEUR de leur sectouille moins nombreuse que les doigts d'une main (quelle que soit l'"armée" de manipulé.e.s et de séides sans formation politique dont illes pourraient virtuellement disposer, au travers par exemple, au hasard, d'une certaine activité de "marchands de sommeil rouges" ; des personnes "pour lesquelles les militant-e-s de Futur Rouge n'ont d'intérêt que pour leur style vestimentaire et pour leur physique imposant, et qu'illes prennent ouvertement pour des imbéciles d'ailleurs", dixit une sources qui les connaît très bien).

    Conjurer le risque de telles actions dignes de mafieux, c'est leur faire savoir clairement qu'elles ne feront que s'ajouter à leur déjà lourd dossier, dont la diffusion ne fera que s'accélérer. Une diffusion que, comme nous l'avons déjà dit, intimider ou même agresser une ou deux personnes n'arrêtera pas ; car des dizaines ont déjà l'info en main et sont prêtes à la diffuser à leur tour.

    Et que puisque tout a été fait en sorte de leur part depuis plusieurs mois, celleux qui ont désormais politiquement tout à perdre ce sont ELLEUX et pas nous (vous savez, le vieux principe newtonien que la violence de la chute dépend de la hauteur à laquelle on se trouve...). C'est ce qui a par exemple déjà été signifié à un individu que tout (les infos sur notre camarade, notamment son adresse, la résidence dans la même ville, la date, les sbires envoyés) désigne ; et qui en plus (LOL) de nier très maladroitement, nous invite purement et simplement (re-LOL)... à saisir la justice bourgeoise si "nous nous estimons ses victimes", tout en se "réservant le droit d'en faire de même" si nous "continuons nos calomnies sur son compte" intello.


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